"LES HIRONDELLES DU PRIX SWISS LIFE SE POSENT À LA GALERIE THIERRY BIGAIGNON" POLKA MAGAZINE 02/02/2021
"LES HIRONDELLES DU PRIX SWISS LIFE SE POSENT À LA GALERIE THIERRY BIGAIGNON"
https://www.polkamagazine.com/les-hirondelles-du-prix-swiss-life-se-posent-a-la-galerie-thierry-bigaignon/?fbclid=IwAR0IquQBxrHhqfgMzxMbPyzVt3JDkm38eI__de3ti3bD4T-PazNkb22YJ8Y
https://www.polkamagazine.com/les-hirondelles-du-prix-swiss-life-se-posent-a-la-galerie-thierry-bigaignon/?fbclid=IwAR0IquQBxrHhqfgMzxMbPyzVt3JDkm38eI__de3ti3bD4T-PazNkb22YJ8Y
"Le compositeur, qui a écrit son œuvre pendant le confinement du printemps 2020, a vécu cette période de création intense comme une forme de “résilience artistique”. “Il fallait s’élever, tout faire pour se détacher de la toxicité dans laquelle nous étions plongés, explique-t-il. J’ai donc conçu une musique légère, presque évanescente. Les notes tirent vers l’aiguë, les timbres sont assez clairs et des instruments comme le ‘Toy Piano’ donnent un côté cristallin à l’ensemble. Et si l’on ferme les yeux, comme dans les musiques de film, des images merveilleuses surgissent, celle d’un monde onirique où rien ne nous tire vers le bas.”
Régis Campo a su éviter l’écueil d’une musique trop illustrative. Les deux arts se complètent et forment dans cette petite galerie parisienne un espace hors du temps et des préoccupations anxiogènes du moment. “La conjugaison des deux arts, enferme le spectateur dans une bulle”, abonde Thierry Bigaignon, maîtres des lieux. En voyant l’œuvre prendre forme, au fil des mois, le galeriste a poussé un “ouf” de soulagement. “ Je savais que le travail d’Edouard correspondait à ce que je recherche en photographie: des artistes qui poussent le médium dans ses retranchements. Mais lorsque j’ai accepté d’accueillir le Prix Swiss Life à 4 mains, je me suis engagé à l’aveugle. Le résultat a dépassé mes attentes”, se réjouit-il aujourd’hui."
Régis Campo a su éviter l’écueil d’une musique trop illustrative. Les deux arts se complètent et forment dans cette petite galerie parisienne un espace hors du temps et des préoccupations anxiogènes du moment. “La conjugaison des deux arts, enferme le spectateur dans une bulle”, abonde Thierry Bigaignon, maîtres des lieux. En voyant l’œuvre prendre forme, au fil des mois, le galeriste a poussé un “ouf” de soulagement. “ Je savais que le travail d’Edouard correspondait à ce que je recherche en photographie: des artistes qui poussent le médium dans ses retranchements. Mais lorsque j’ai accepté d’accueillir le Prix Swiss Life à 4 mains, je me suis engagé à l’aveugle. Le résultat a dépassé mes attentes”, se réjouit-il aujourd’hui."
par Sarah Petitbon
POLKA MAGAZINE 02/02/2021
POLKA MAGAZINE 02/02/2021
Commentaires
Enregistrer un commentaire