"UNE ŒUVRE BRILLANTE, LYRIQUE, POÉTIQUE" - ROUBAIXXL.FR
A la Piscine… les hirondelles dans Le Bleu du ciel
Le Musée La Piscine expose jusqu’au 5 septembre 2021 le projet lauréat de la 4e édition du Prix Swiss Life à 4 mains, l’unique Prix photographie et musique en France. Edouard Taufenbach et Régis Campo y invitent à un voyage poétique et (é)mouvant, dans les ailes des hirondelles.
Le Musée La Piscine expose jusqu’au 5 septembre 2021 le projet lauréat de la 4e édition du Prix Swiss Life à 4 mains, l’unique Prix photographie et musique en France. Edouard Taufenbach et Régis Campo y invitent à un voyage poétique et (é)mouvant, dans les ailes des hirondelles.
https://www.roubaixxl.fr/a-la-piscine-les-hirondelles-dans-le-bleu-du-ciel
C’est l’histoire d’un voyage. Il part d’un souvenir d’enfance, de la musique des hirondelles dans le ciel et de leur rassemblement sur les fils électriques, comme des notes de musique accrochées sur une portée, avant leur grand départ pour l’Afrique, annonçant la fin de l’été.
À partir du sujet de l’hirondelle, Edouard Taufenbach et Régis Campo cherchent à développer une représentation sensible du passage du temps, du mouvement, et des échanges et circulations au sein d’un espace.
Le Bleu du ciel regorge d’hirondelles et d’octaves en liberté. Régis Campo, le compositeur, a travaillé de concert avec l’artiste visuel Edouard Taufenbach, lui-même assisté par Bastien Pourtout. « Moi je travaille avec des images et j’essaie de leur donner du rythme tandis que Régis fabrique du rythme à partir de mes images », confie le photographe. Le talent de l’un s’est nourri de celui de l’autre et vice-versa.
Une œuvre brillante, lyrique, poétique
Le résultat est brillant, lyrique, poétique et donne à rêver. Edouard Taufenbach, armé de son Canon équipé d’un 200 mm, a su merveilleusement capturer le vol symphonique des hirondelles, petits oiseaux furtifs par excellence. Le ciel de Rome notamment offre une palette chromatique riche, avec d’infinies variations de bleu. Des écrins-boîtes en plexiglass, comme autant de nids, donnent à voir des œuvres mosaïques, parfois kaléïdoscopiques. La musique de Régis Campo surligne l’émotion, ce mouvement de l’âme. On aime.
C’est l’histoire d’un voyage. Il part d’un souvenir d’enfance, de la musique des hirondelles dans le ciel et de leur rassemblement sur les fils électriques, comme des notes de musique accrochées sur une portée, avant leur grand départ pour l’Afrique, annonçant la fin de l’été.
À partir du sujet de l’hirondelle, Edouard Taufenbach et Régis Campo cherchent à développer une représentation sensible du passage du temps, du mouvement, et des échanges et circulations au sein d’un espace.
Le Bleu du ciel regorge d’hirondelles et d’octaves en liberté. Régis Campo, le compositeur, a travaillé de concert avec l’artiste visuel Edouard Taufenbach, lui-même assisté par Bastien Pourtout. « Moi je travaille avec des images et j’essaie de leur donner du rythme tandis que Régis fabrique du rythme à partir de mes images », confie le photographe. Le talent de l’un s’est nourri de celui de l’autre et vice-versa.
Une œuvre brillante, lyrique, poétique
Le résultat est brillant, lyrique, poétique et donne à rêver. Edouard Taufenbach, armé de son Canon équipé d’un 200 mm, a su merveilleusement capturer le vol symphonique des hirondelles, petits oiseaux furtifs par excellence. Le ciel de Rome notamment offre une palette chromatique riche, avec d’infinies variations de bleu. Des écrins-boîtes en plexiglass, comme autant de nids, donnent à voir des œuvres mosaïques, parfois kaléïdoscopiques. La musique de Régis Campo surligne l’émotion, ce mouvement de l’âme. On aime.
Le Bleu du ciel voyagera entre Paris, Roubaix, Arles et Bordeaux, chaque étape étant unique, avec une scénographie adaptée aux lieux.
Commentaires
Enregistrer un commentaire